Sommaire
Analyse économique et décision |
---|
|
---|
La croissance économique est-elle compatible avec la préservation de l'environnement ? C’est une question qui vaut la peine d’être posée ! Pour rappel, la croissance économique c’est l'augmentation du capital d’un ensemble économique sur une période donnée. Elle est aujourd’hui calculée à partir de l’évolution du produit intérieur brut (PIB). Ces vingt dernières années, la croissance du capital économique se heurte à des limites écologiques. Que ce soit l'augmentation des gaz à effet de serre, les sécheresses, l'épuisement des ressources naturelles, etc. C’est pour cela qu’avec les accords de Paris de 2015, les États signataires visent une croissance différente, dite plus “verte”. Quelles sont les limites de la croissance économique ? La croissance verte respecte-t-elle véritablement ses promesses ? Que faire, sinon ? Retrouvez les réponses à toutes vos questions dans cet article. www.hellocarbo.com | |
---|
L’acquisition de son rival Suez a permis au géant des services à l’environnement d’étendre sa palette d’innovations dans un secteur-clé, au moment où les défis liés à l’accès à la ressource ou à la réglementation sur les polluants augmentent en flèche. www.lemonde.fr | |
---|
Le prix de l’eau en Wallonie devrait augmenter en 2025. Les différents distributeurs d’eaux wallons ont introduit une demande d’augmentation des prix auprès de leur ministre de tutelle, Yves Coppieters (Les Engagés). Le prix de l’eau n’a que très peu bougé ces dix dernières années, alors que l’indexation des salaires, les prix de l’énergie, l’entretien des infrastructures, le traitement des eaux usées notamment ont fortement augmenté. De ce fait, les distributeurs d’eau wallons rencontrent des difficultés avec le tarif actuellement pratiqué, 2,80 euros/ m3. L’augmentation devrait être de quelques dizaines de centimes pour se rapprocher des 3 euros, soit quelques euros de plus par mois sur la facture. En 2023, le prix de l’eau avait déjà augmenté de 2,62 € à 2,80 euros. Cette augmentation était intervenue alors que le prix de l’eau n’avait plus bougé depuis 2014. www.rtbf.be | |
---|
Pour une facture type de 120 m3 pour les communes actuellement en zone de pollution renforcée, qui correspond à la facture la plus élevée en 2024 et concerne 75 % de la population de la Métropole, l’augmentation à prévoir est de 3,93 % soit 19,37 euros en 2025 et de 2,44 % soit 12,47 euros en 2026, pour une augmentation totale de 31,84 euros en moyenne d’ici 2026. Une somme qui n’est pas anodine pour les ménages en difficulté. actu.fr | |
---|
Arrêté du 2 octobre 2024 modifiant l'arrêté du 10 juillet 1996 relatif aux factures de distribution de l'eau et de collecte et de traitement des eaux usées >> Cet arrêté vise à modifier des rubriques des factures d'eau. Ces modifications s'inscrivent dans le cadre du chantier de la réforme des redevances des agences de l'eau prévues par la loi de finances pour 2024 (article 101). Elle vise à promouvoir une meilleure performance des services d'eau et d'assainissement pour inciter les collectivités gestionnaires à améliorer leurs infrastructures et ainsi réduire les fuites d'eau potable et les rejets de polluants dans le milieu. www.idcite.com
Adoptée par la loi de finances 2024, la réforme s’appliquera à compter du 1er janvier 2025. Elle comporte trois volets : 1. Le premier volet prévoit, en substitution des actuelles redevances pour pollution d’origine domestique et pour modernisation des réseaux de collecte, la création d’une redevance de rendement sur la consommation d’eau potable (due par les abonnés du service) et de deux redevances incitatives sur la performance des services d’eau potable et d’assainissement collectif (dues par les collectivités chargées de ces services et répercutées sur les tarifs). 2. Le deuxième volet concourt à produire des recettes additionnelles pour financer le plan eau avec une évolution de la redevance prélèvement qui consiste à relever les tarifs plafonds et à introduire des seuils minimums des tarifs d’imposition pour chaque usage. 3. Le dernier volet de la réforme prévoit que les tarifs ou l’encadrement tarifaire prévus pour le calcul de chacune des « redevances des agences de l’eau » soient indexés chaque année sur l’inflation pour prévenir à l’avenir l’érosion de la capacité d’intervention des agences de l’eau. www.amf.asso.fr
« L’eau est un bien commun », mais qui est appelé à devenir encore un peu plus cher pour le consommateur en 2025, dans les 148 communes du territoire du syndicat Atlantic’eau. C’est l’annonce faite par le président du syndicat, Frédéric Millet, mercredi 6 novembre 2024 à Paimbœuf, lors de la signature du renouvellement de la délégation de service public pour les territoires de la Communauté de communes Sud Estuaire et Val Saint-Martin*. Il faudra cependant attendre encore quelques semaines, à l’issue de l’assemblée syndicale de décembre qui entérinera cette décision, pour connaître le montant de la hausse, sachant qu’Atlantic’eau a déjà procédé à une revalorisation du prix du mètre cube en 2024. actu.fr | |
---|
Valeurs de l’environnement |
---|
|
---|
Aujourd’hui, Eau de Paris travaille main dans la main avec 160 agriculteurs et agricultrices au développement de l’agroécologie, avec le soutien financier de l’Agence de l’eau Seine-Normandie. Eviter les pollutions dès l’origine reste en effet la seule manière de préserver l’eau, l’environnement et notre santé de façon durable. C’est une solution sobre, qui évite de devoir mettre en place des traitements supplémentaires. L’argument est aussi économique : prévenir les pollutions coûte 3 fois moins cher que de les traiter. C’est enfin une vision de long terme : le transfert des pesticides d’un champ à une nappe souterraine peut prendre quelques heures comme plusieurs décennies. www.eaudeparis.fr | |
---|
Dépenses pour l’eau et les milieux aquatiques |
---|
|
---|
Bilan du Syndicat Mixte d’Adduction d’Eau Potable (SMAEP) de Mayet (Sarthe), présenté dans le rapport annuel 2023 sur le prix et la qualité du service public de l’eau potable. Desservant 11 157 habitants répartis sur huit communes, la région couverte par le SMAEP représente 443 kilomètres de canalisations. Du côté de la qualité de l’eau, le SMAEP avec deux indicateurs au score parfait de 100 %. Une baisse des pertes en fuite Du côté du réseau d’eau potable, il possède un très bon rendement de 91,6 % nettement au-dessus de la moyenne nationale qui elle est à 70 %. Sur le plan financier, ce sont 650 000 m3 d’eau qui ont été facturés en 2023. Il reste 58 000 m3 d’eau qui sont partis en fuites et purge de réseau ce qui représente une baisse de près de 20 % par rapport à l’an précédent. 377 338 € ont par ailleurs été investis pour des travaux de réfection du réseau. actu.fr | |
---|
Sur le bassin versant du Canut Sud, le ruisseau du Fougeray, situé sur la commune de Pipriac (35), fait l’objet de travaux de renaturation sur 1,5 km pour retrouver une dynamique d’écoulement du cours d’eau et diversifier les milieux aquatiques. Un projet à hauteur de 2 millions d’euros soutenu par le Fonds vert et l’agence de l’eau Loire-Bretagne. www.eaux-et-vilaine.bzh
Le 12ème programme d’intervention a été adopté par le conseil d’administration après avis favorable du comité de bassin à l’unanimité des membres de ces deux instances. Ses 18 délibérations sont l’œuvre d’un vaste travail de co-construction ayant duré près de deux années en associant les acteurs du bassin, les membres des instances et les équipes de l’agence. Avec 1279 M€ prévus sur 6 ans dès le 1er janvier 2025, il s’agit du programme d’intervention le plus ambitieux jamais connu pour le bassin. Il a été conçu dans une logique de résilience, afin de répondre aux enjeux posés par les épisodes de sécheresse et d’inondations, et dans une logique de sobriété pour concilier adaptation au changement climatique, réindustrialisation etagriculture(s) en vue d’un partage juste et équitable de la ressource en eau pour tous. www.eau-artois-picardie.fr
Le Cercle Français de l’Eau présente le mercredi 20 novembre 2024 les résultats inédits de l’étude « Panorama du financement global de la politique de l’eau en France métropolitaine », menée avec l’appui du ministère de la Transition écologique et en partenariat avec AMORCE, l’ANEB et Intercommunalités de France, Cette étude nationale se présente comme un outil essentiel pour éclairer les décisions futures. Couvrant la période de 2013 à 2022, elle se base sur des données collectées en 2023 auprès des acteurs de l’eau, notamment les agences de l’eau, les collectivités territoriales et des services publics d’eau et d’assainissement. Elle dévoile un diagnostic complet sur la répartition des financements entre ménages, collectivités, industries et secteur agricole, mais aussi sur les coûts non couverts actuellement, tout en formulant des recommandations clés pour un financement équilibré et durable. www.cerclefrancaisdeleau.fr
60 ans après la loi qui a créé les agences de l’eau, les nouveaux programmes d’intervention des agences de l’eau portent une ambition renouvelée et des moyens renforcés. Dotés d’une capacité d’aide de plus de 2 milliards d’euros par an, ils vont permettre d’accompagner la transition écologique des territoires en réponse aux défis majeurs de la restauration du bon état des eaux, de la reconquête de la biodiversité et de l’adaptation au changement climatique. Les 12e programmes, qui entreront en vigueur le 1er janvier 2025, pour 6 ans, constituent un des leviers principaux de la mise en œuvre du Plan eau, des Schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) et des Plans d’adaptation au changement climatique des bassins. www.eaurmc.fr |
|