Six prix et une mention dans six catégories du Palmarès Architecture Aluminium Technal ont été décernés par un Jury de renom.

Présidé par Anne Démians, de l'Agence Architectures Anne Démians, ce Jury étant composé de : 

Vincent Candau, Architecte, V2S Architectes

Ludovica Di Falco, Architecte, Scape

André Kempe, Architecte,  Atelier Kempe Thill

Ignacio Prego, Architecte, Ignacio Prego 

Architectures

Pascal Teisseire, Architecte, Teisseire & Touton

Philippe Vesco, Architecte, Atelier D’Eguison

Pour la première fois, un prix et une mention Technal ont également récompensé deux projets d’habitat.

Imaginé par l’Agence d’Architecture JOYES, ce Centre Culturel de 2 300 m² se compose de deux entités qui s’élèvent sur un socle commun en ardoise pyrénéenne : une salle de spectacles, cube monolithe de béton brut, pour les concerts, représentations de théâtre ou de danse, et une école de musique, avec l’ensemble de ses circulations et salles de cours intégrant 240 m² de châssis SOLEAL.

Gages de confort intérieur et extérieur, ces ouvertures ont reçu un traitement acoustique spécifique selon leur position dans le bâtiment. Elles se dotent de doubles menuiseries fixes dans la salle de répétition collective et la salle de percussions où les sons sont les plus importants. Les salles de pianos, de guitares ou encore de violons se parent de châssis fixes ou ouvrants SOLEAL avec vitrage acoustique Ra : 45 dB.

Cette halle technologique de 1 260 m², implantée à Pau, est une plateforme d’innovation destinée au développement des composites organiques nanostructurés. Elle accueille un pôle de recherche universitaire et un laboratoire privé dédié aux partenaires industriels.

Baptisée CANOE, elle se distingue par son volume lumineux de polycarbonate parfois percé de menuiseries en aluminium TECHNAL. L’ensemble se joue des reflets et transparences engendrés par les rayons du soleil. Selon l’architecte Richard Milani, le recours au polycarbonate s’explique par la place qu’occupent les polymères nanostructurés dans les travaux de recherche de cette plateforme. Sur la partie haute de la halle, une “luciole” laisse apparaître une ossature maillée à l’image de l’organisation de la structuration interne de carbone. 

Cette villa, perchée sur une colline, est soumise à un vis-à-vis important entre une maison récente à l’Est et une remise vigneronne à l’Ouest. Côté Nord, à l’aplomb d’un mur de soutènement de 5 mètres de haut, elle s’offre une vue imprenable et dégagée sur la vallée de l’Hérault.

"Le parti architectural est celui d’une maison introvertie, protégée du regard et uniquement tournée vers l’environnement au Nord grâce à un large châssis fixe SOLEAL" explique l’agence d’architecture Artelabo. Ses dimensions, conjuguées à la finesse de ses profilés et au vitrage bord à bord, mettent en scène le paysage tel un tableau grandeur nature. La géométrie globale de la construction se base sur une séquence répétitive de quatre volumes identiques évoquant des petites maisons, enclos au sein d’un mur périphérique.

Cette maison familiale, de près de 700 m², est construite sur un vaste terrain de 3000 m², déclinant en pente douce jusqu’au lac. Le site se révèle ainsi au fur et à mesure de la progression.

La villa se compose de trois volumes simples enchâssés les uns aux autres, avec des porte-à-faux, afin de supprimer l’effet de masse. Ils sont découpés en cadrages sur le lac et le golf voisin, de manière à être protégés du vis-à-vis de l’hôtel à proximité : le socle abritant les chambres et une zone de jeux au centre qui fédère ces espaces, et le rez-de-chaussée accueillant les parties communes.

Des baies coulissantes grandes dimensions,  d’une hauteur de 3 mètres sur une largeur de 20 mètres au Nord et de 12 mètres au Sud, offrent transparence et lumière naturelle abondante au salon/salle à manger. Au Sud, les menuiseries TECHNAL sont rehaussées de claustras en bois qui donnent du rythme à la villa, et jouent un rôle de brise-soleil et de brise-vue.

Cette tour sismique de 55 mètres de haut, accueillant 72 logements en accession et des commerces en rez-de-chaussée, s’élève dans la nouvelle ZAC du Pré-Gauchet à Nantes. La recherche d’individualité, avec des extérieurs généreux et des espaces ouverts, était une motivation majeure pour l’agence a/LTA Architectes - Urbanistes.

Les loggias, solutions de fermeture en aluminium qui intègrent des garde-corps surmontés de coulissants suspendus, conjuguées à la double orientation Sud-Est / Sud-Ouest des logements, permettent aux occupants de profiter des vues vers le centre-ville ou le fleuve. Ils bénéficient d’une pièce supplémentaire lumineuse et protégée du vent tout au long de l’année.

Cette bâtisse de 102 m², typiquement gersoise, accueille au Nord, cinq chambres et un séjour doté d’une grande cheminée, et côté Sud, les parties communes. À l’articulation de ces deux corps, des espaces cloisonnés sombres, composés notamment d’une cuisine rustique aux murs épais en pierre et aux petites ouvertures, que les propriétaires souhaitaient transformer en grande pièce de vie.

Emmanuelle Foucault Architecte et Pierre-Édouard Verret Architecte ont proposé la création d’une cuisine/salle à manger vaste (75 m²) et lumineuse afin de libérer l’espace (allèges, murs...) pour que cette nouvelle pièce, orientée Est/Ouest, puisse bénéficier des deux lumières du levant et du couchant.

Dans la périphérie de Pau, marquée par l’importance des infrastructures routières et sans alignement urbain auquel se rattacher, la forme circulaire du nouveau siège social TIGF d’une surface de près de 10 000 m²,  signe son identité par sa singularité formelle.

L’enveloppe de cet ouvrage s’habille de murs-rideaux GEODE toute hauteur (10,20 m) sur la structure métallique des quatre cages d’escalier verticales et de châssis SOLEAL sur l’ossature bois. Pour l’architecte Laurent Gaudu, ces solutions en aluminium apportent transparence et grande respiration visuelle à l’ensemble. Ces châssis sont surmontés de lames verticales en métal perforé pour la protection solaire.

En imaginant cette villa de 300 m² sur l’ancien terrain de tennis d’une propriété voisine, l’architecte Jean Fradet a pris pour point d’ancrage les deux cèdres majestueux plantés en mitoyenneté.

Mise en scène, toute la puissance de leur ramure s’exprime au travers de la transparence cadrée d’une étroite verrière GEODE horizontale de 10 mètres de long. Elle se prolonge verticalement jusqu’au rez-de-chaussée par des ouvrants SOLEAL de la même largeur. Centrée sur l’escalier, cette faille continue offre une vue panoramique qui s’élargit au rythme de la montée, baignant de lumière le séjour, la mezzanine et la passerelle d’accès au grand balcon.

Ce programme, d’une superficie de 9877 m², est réparti en cinq résidences, deux en R+6 et trois en R+3. Il se compose de 116 logements en accession, comprenant des duplex en rez-de-jardin et des T1 au T7 (entre 50 et 300 m²). À fleur de pente, il est construit sur un socle habillé de pierres calcaires maçonnées et abrite deux niveaux de sous-sol.

L’architecte associé Pascal Hendier, de l’agence Gautier+Conquet Architectes et Paysagistes, devait prendre en compte plusieurs critères : préserver les vues depuis l’ancien bâtiment historique de l’hôpital Debrousse, proposer des logements orientés principalement vers le grand paysage lyonnais, obtenir une enveloppe performante et permettre une grande flexibilité des logements en fonction des acquéreurs.