L’accident de Fukushima a démontré que la connaissance des failles actives constituait un élément clé pour une évaluation correcte de l’aléa sismique.
Le document de « Vision globale » établit notamment les liens existants entre les huit objectifs prioritaires de recherche pour les réacteurs de génération II et III, y compris l’EPR. Ce document est le premier de ce type et de cette ampleur dans le monde, rédigé par plus de 50 auteurs.
La participation de l’IRSN s’explique par l’enjeu de sûreté que représente le comportement des tubes de générateur de vapeur, éléments constitutifs de la barrière de confinement du circuit primaire des réacteurs nucléaires.
Dix doctorants volontaires ont concouru avec un objectif : résumer trois années de thèse en trois minutes, de la façon la plus intéressante et claire possible, face au public des Journées des thèses.
Ce prix récompense son travail sur le projet Bestair (Beryllium Source Term due to an Accident in the ITER experimental reactor), dont l’objectif était d’établir une base de données thermodynamiques pour les formes gazeuses du système Béryllium-Oxygène-Hydrogène-Tritium.
Le texte publié par la Commission internationale de protection radiologique (CIPR) opte pour une approche de prévention du risque radon simple et novatrice centrée sur le bâtiment comme lieu d’exposition.
Dans un dossier internet publié en mars 2015, l'Association pour le Contrôle de la Radioactivité dans l'Ouest (ACRO) met en cause l’usage de dosimètres individuels de type RPL dans les territoires contaminés de la région de Fukushima. Or, ces informations sont inexactes au plan scientifique.
A la fin mars, 123 lycéens français, allemands, ukrainiens, biélorusses, moldaves, marocains, et de Fukushima au Japon ont participé aux « ateliers de la radioprotection », à l’Institut national des sciences et techniques nucléaires à Cadarache (Bouches-du-Rhône).
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